En 1985 Jean Marie Fériès acquiert la plus grande partie du château de Daniel Daval, qui l’avait lui-même acheté deux ans auparavant à Henri Vincent.
Jean Marie Fériès dégage les gravats accumulés dans la basse-cour et l’entrée du château. Il finit aussi le déblaiement du rez-de-chaussée du logis, travail entrepris par l’équipe de Mademoiselle Rossano. Il y découvre trois des pierres gravées commémoratives des travaux de la princesse Amélie au début du 17 e siècle. Le puits est également mis au jour et une pompe électrique y est immergée.
Il fait construire les deux hangars et achète un tracteur. Un escalier métallique est installé dans le logis et une grille ferme l’entrée de la basse-cour.